Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

Des milliers de petites vagues venaient mourir docilement sur leurs pieds nus. Tout à coup, elle se dégageât et se mit à courir en rigolant, les cheveux aux quatre vents, criant de toute son âme « attrapez-moi mon cœur ».

 Jacques se lança à sa poursuite et l’attrapa. Il la serra dans ses bras et l’embrassa tendrement. Une bouffée de chaleur intense l’envahissait, des petits picotements et des sensations d’électricité parcouraient frénétiquement la zone du bas ventre à sa magnifique poitrine, ses seins commençaient à prendre du volume et les tétons durcissaient. Elle était aux anges.

_  Annie, oh !, oh !, allô !, ici la terre !

_ Oui ! Oui ! Monsieur, je pensais que je pourrais aussi faire des recherches sur les hôpitaux de votre région.

_ C’est une excellente idée, Annie, disait-il, en souriant. (Il crût savoir où était partie Annie, mais gentleman oblige).

Il poursuivait,  ‘’un arbre a besoin de la forêt pour pousser haut et droit, comme un être a besoin d’une famille pour vivre heureux et plus longtemps ‘’

_ Cette phrase philosophique est superbe  et très intéressante, comment Jessy disait déjà, oui «Woooh ça déchire ! ».

_ Elle n’est pas de moi, je l’ai lu quelque part, dans un bouquin dont j’ai oublié le nom de l’auteur. Je suis impardonnable.

 

     

 

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