Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

   

Becky émergeait du QG et s’adressa à Jacques _ Monsieur,  docteur, vous emmenez le blessé dans le sas, s’il vous plaît, aussitôt vous reviendrez, si vous en profitez pour vous enfuir, vous aurez dix morts sur votre conscience. Est-ce claire ?

_ Entendu, rétorqua Jacques. Si je peux vous suggérer ?

_ J’écoute !

_ Libérez le vieux monsieur du fond avec son épouse, je crois qu’il va vous poser le problème dans les minutes qui suivent.

_ Et pourquoi ?

_ Puisqu’il ne tenait plus debout, vue son état, il ne va pas tarder à avoir une attaque. Et ainsi que les mômes, sources d’énervements généralisés, ça va comme suggestion ?

_ D’accord, dites leur de se tenir prêt.

_ Merci pour eux, disait Jacques.

 Kate sentait que quelque chose allait se passer, elle donna un coup de coude à son caméraman,

 _ Filme l’ambulance, elle est en train de se bouger.

_ Ok, je l’ai dans l’objectif.

_ Ici Kate Murray, Je vois s’avancer l’ambulance et se mettre devant la porte d’entrée de la banque. Il va se passer quelques choses. --- Oui ! Oui ! Deux ambulanciers descendent un brancard. Le rideau de fer se lève lentement au niveau de la hauteur du  brancard et disparaît dans le sas, je crois. --- Attendez ! --- attendez ! Oui ! Oui ! Le brancard réapparaît, un blessé, on dirait que c’est le garde de sécurité.

     

 

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