Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

   

   D’un autre côté, il flippait. Une chair de poule frénétique lui hérissait le dos. Il maugréait contre la ville, les gens, le monde entier… Il regardait fixement ce maudit bunker «Il va falloir que votre ange gardien fasse des heures sup. On n’est jamais  à l’abri d’une balle perdue, Jacques mon ami ».

 Il ferma les yeux, les larmes affluèrent sous ses paupières, « tiens bon Barnay », se disait-il.

    Il s’adressa au commissaire Cody :

_ Commissaire j’ai encore besoin de vos hommes, pour cause il y a quelqu’un de très important actuellement à l’intérieur de la banque. Il leva la tête et montra le BIFI Tower, ----- et il était l’un des nôtre.

_ Bien, compris Capitaine.

_ Je voudrais doubler l’effectif de vos hommes autour de la cellule médicale et psychologique. L’interdiction totale aux curieux et à tous les organes de presses de passer  jusqu’à la fin de l’opération.

_ D’accord, ce sera fait. Comptez sur moi.

    On voyait émerger les derniers squatters du Banks Tower.

_ Capitaine, l’évacuation de la Tour est terminée.

_ Ok Lieutenant, vous libérez les hommes du Commissaire. Avec vos hommes, vous continuerez à inspecter les lieux, voir s’il y a une faille à exploiter dans ce foutus bunker.

_ Ok, à vos ordres, Capitaine.

 

 

     

 

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