_ Ça va ! Et écoutez-moi bien, dites au Commandant de préparer le Jet et qu’il soit prêt à décoller immédiatement.

_ Pour quelle destination, Monsieur ?

_ Pour quelle destination ? Jacques regardait Becky.

_ Je vous dirais une fois décollée.

_ Inconnue !

_ Bien Monsieur.

_ Je peux avoir le capitaine de l’opération, s’il vous plaît.

_ Pourquoi faire ?

_ Pour éviter le bain de sang. Ils ne vont pas tarder à donner l’assaut, je ferai pareil à sa place.

_ Juste un mot, pas plus ? Professeur redirigez-moi la connexion du Capitaine sur le 102.

_ Ok ! Becky.

   Jacques décrocha le combiné.

_ Bonjour Capitaine, c’est Jacques, veuillez prévenir ma femme que je serai en retard pour le dîner.

_ Ok ! Becky coupa la communication.

_ Je vous suggère de libérer quelques otages, ceux qui sont sur la cinquantaine.

_ Pourquoi ?

_ Parce que je tiens à sortir d’ici vivant.

_ Parce que je connais bien le capitaine Barnay, il peut péter les plombes à tout moment. Voilà pourquoi.

_ Ok ! Faites avancer les otages.

   Jacques émergea et s’adressa aux otages.

_ Ceux qui ont cinquante ans et plus, sortez et montrez votre carte d’identité à Monsieur Toshi.

_ Becky ! Qu’est-ce que c’est ça ?

_ Il y en a encore trop Toshi.

_ Ok !  ---- Allez grouillez-vous, avant que je change d’avis.