Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

  

_ Passes à la résidence et je te raconterai, la porte est toujours ouverte pour toi chérie, quelque soit les circonstances, nous t’aimons toujours.

_ Nous sommes devant le portail, disait Robin.

_ Tonton, nous allons vous laisser là, j’enlève votre masque, vous vous endormirez quelques minutes. Quand vous vous réveillerez, vous serez juste un peu dans les vapes, mais rassurez-vous, aucun effet secondaire sur vos organismes. Nous avons laissé un message au capitaine Barnay, signalant où vous êtes actuellement. Excusez-moi Monsieur, intervint Mike, voici votre mobile portable.

_ Merci, mon garçon. Je ne sais pas pourquoi, vous vous passer pour des braqueurs de banque, mais j’avais une idée là-dessus.

_ C’était nécessaire tonton, mais n’oubliez pas de regarder les informations demain matin. Je ne pourrai rien vous révéler ce soir. Vous êtes prêt ? Jacques acquiesça en haussant les épaules. Je suis désolée, on y va !

   Becky défit le masque et aussitôt Jacques s’écroula.

_ Allons-y les garçons ! On déménage du fourgon ; emportez tous vos affaires et veillez de ne rien laisser trainer. Gardez toujours vos gangs. Robin, vous reprenez le volant de la camionnette. ----- Bon ! ajoutait-elle, aussitôt que la camionnette prit la route, Hewlette, les opérations de transfert ?

_ Au poil, Becky, je veux dire impeccable. Voici, les gars, le montant transféré prévu dans votre compte (il sorti cinq petits bouts de listing et donnait à chacun), sauf toi Becky et je ne suis pas curieux, je ne veux pas non plus savoir.

_ Merci Hewlett. Bon boulot. Et toi, Sony.

 

     

 

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