Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

   

_ Nous attendions vos ordres Capitaine.

_ Bon ! Faites attention les gars et allez y !

_ Capitaine ! Capitaine ! cria le sergent Terry.

_ Quoi ! hurla-t-il.

_ Un message pour  vous à l’écran, Capitaine.

« Capitaine Barnay,  vous pourrez récupérer votre ami Jacques au grand portail du Zoo Parc ».

 _ Oh Jacques !  Mon copain, je savais que vous aviez toujours un tour dans votre sac, pensait-il avec un petit sourire de soulagement.

    Kate Murray regardait son caméraman un peu étourdit, sa caméra était toujours en bonne état,  puis s’enquit-elle :

_ Que c’était-il passé ?

_ Je n’en sais rien ! Je crois qu’on s’était fait gazer, Kate.

_ Films ! Films, plus de rideaux de fer, toutes les portes et fenêtres sont à nues. Les otages sortent à la queue leu, leu, pour ceux qui arrivent encore à marcher, d’autres se sont aidés par les BIR.

 _ Lieutenant Henry, quelle est la situation ?

_ C’est très bizarre, Capitaine.

_ Comment çà ?

_ Le directeur de la banque est toujours en vie, mais il est complètement choqué. Aucun blessé parmi les otages. Les coffres sont restés intacts, sauf quelques désordres dans le grand hall.

_ Bon ! Dites au lieutenant Arnold de regrouper ses hommes ainsi que les votre et rentrez au QG. Nous allons rendre la ville au commissaire Cody. D’abord passez-moi le commissaire. J’aurai encore un otage à récupérer.

 

 

     

 

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