Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

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    Annie frappait doucement à la porte.

_ Oui, entrez ! , monsieur Dark-side est là, Monsieur.

_ Dites lui que je vais le recevoir dans une minute. Je suis en train de batailler avec ce foutus de nœud de cravate, se disait-il.

_ Je peux vous aider, Monsieur.

_ Je vais le refaire une nième fois et cela y ira.

_Bien Monsieur, elle refermait la porte et s’approchait du visiteur énigmatique en disant, Monsieur Dark-side le président va vous recevoir.

_ Eric Palmer, appelez-moi Ricky, mademoiselle.

_ Bien, je vais vous soulager du bébé, je crois qu’elle est endormie.

_ Merci, mademoiselle, je pourrais la remettre dans son couffin, si vous permettez. Merci, à vous Annie.

_ Tout le plaisir est pour moi, Ricky.

    Jacques sortait du bureau.  Ah, bonjour Ricky.

_ Bonjour Jacques. Comment allez-vous ?

_ Merci, je vais bien. Je vous demande encore une minute Ricky et on y va.

_ Et comment va le bébé ? , Il s’adressait à sa secrétaire et s’approchait doucement du couffin. Elle est très sage, je ne l’ai pas entendu pleurer depuis ce matin. Annie, vous dressez une liste de provisions nécessaires au coursier, ceux dont vous auriez  besoins pour Julia, pour au moins une semaine.

D’après la loi de Terra-polis on ne peut garder un bébé abandonné qu’une durée maximum de cinq jours, et c’était le cas de Julia, après cette période on est obligé de la  remettre à l’institution d’assistance sociale.

 

 

     

 

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