Il
l’offrit à sa belle fille, Céline, adorable épouse du lieutenant Kévin.
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Excuse moi ma chérie. Ou bien je suis trop content de vous voir tous réunir,
ou bien c’est ma mémoire qui commence à me jouer des tours. _
Merci beaucoup, papa ! T’inquiète. Je crois que c’est
tout çà en même temps. Je te chambre papa. Elle
lui fit un gros bisou avec des yeux malicieux. _
Bon ! On continue le festin, les enfants, s’impatienta le
capitaine. _
Papa !!! Je te vois … Tu gâtes trop cette chienne. Elle est déjà
assez grosse pour sa taille. Bientôt, elle n’arrivera même plus à
courir, remarqua le lieutenant. _
Désolé fiston, elle m’adore, Volga, elle ne m’a pas quittée depuis.
D’ailleurs, moi également, je suis fou de ce petit toutou. _
Oui bien sûr, comme tu dis le petit toutou, de soixante quatre kilos et
quelques. On l’a pesé chez le vétérinaire, la semaine dernière, lors
de ses rappels de vaccination. Le
festin se déroulait sans encombre, les desserts
étaient déjà
largement entamés. Le temps défilait
à la vitesse Grand V. Le soleil toujours au rendez vous, miroitait
à travers les arbres en une myriade d’éclats de lumière. _
Les hommes ! Je vous sers les cafés comme d’habitude à la petite
table, sous l’oranger, proposa la maîtresse de la maison, vous devez
avoir des choses à vous raconter, je suppose. _
D’accord chérie, répliqua le lieutenant. Allons-y papa et vous tous
les gars.
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