Le papillon des Mille-Etangs  

                                          

                                      

 

                                                                      

      

   

 Non loin de la chambre de fantasme, du côté gauche de la salle de bain, une porte menée au sous-sol, Francky alluma. Le lieutenant et Tony descendirent les marches, suivi de près par Francky.

 _ Waouh ! S’exclama Francky avec des gros yeux pétillants ; j’ai jamais vu une aussi grande cave à vins ; il y a des milliers de bouteilles, là-dedans : du rouge, du blanc et des rangées de champagnes. Il saisit une bouteille au hasard, essuya la couche poussiéreuse avec la manche de sa chemise et fixa l’étiquette... 1924…. Il ne faisait pas chier le mec !

Pendant ce temps, le lieutenant et Tony firent le tour du lieu.

_ Bon ! Rien intéressant ! dit le lieutenant d’un air toujours aussi déçu. On s’en va !

 Tony la fouine traînait comme d’habitude derrière les autres. Francky fit les quatre cents coups, il éteignit la lumière pour l’embêter. Tout à coup, Tony cria.

_ Lieutenant ! Redescendez et venez voir !

_ Oui ! Qu’est-ce qu’il y a ?

_  Venez !

_ Francky allume ! Ordonna le lieutenant et s’approche de Tony.

_ Vous allez voir, ce que j’ai aperçu. Il faut rester dans le noir, Lieutenant.

_ Francky éteint !

_ Vous voyez de la lumière derrière cette étagère ? On dirait une porte dérobée.

_  Bravo ! Bon boulot Tony ! -----  Francky allume !

Du coup, Francky resta collé à l’interrupteur.

_  Compris !  Je ne bouge plus ! Lieutenant.

_ Non ! Tu descends nous donner un coup de main.

 

 

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